Foire aux Questions

Etape 1 : Imaginez votre mur idéal

Toute demande commence par une idée, une envie ou un projet en construction. Il s’agit pour vous d’imaginer au mieux votre future structure d’escalade. Quelle forme aura-t-elle? Mur de bloc ou mur de voie ? Quelle couleur ? Qui grimpera dessus ? Pour du loisir ? De l'entraînement ? Les deux ? Toutes ces questions sont importantes pour concevoir au mieux le mur d’escalade le mieux adapté à vos envies et besoins.

Etape 2 : Premiers contacts

A partir de notre premier contact, nous travaillerons avec vous à imaginer la structure d’escalade la mieux adaptée à vos besoins et aux contraintes de vos espaces. De plus, nous vous demanderons des informations sur votre projet : les mesures du lieux d’implantation, des photos. Alors à vos mètres et appareils photo !

Étape 3 : Combien ça coûte ?

Pour chaque projet, quelle que soit sa taille (d’une chambre pour enfant à un grand gymnase), nous nous engageons à réaliser un chiffrage estimatif de votre projet gratuitement. Celui-ci va prendre en compte tous les postes envisagés de la conception à la pose des prises en passant par le chantier lui-même. Ce chiffrage permettra de vous donner une idée générale de la mise en place de votre projet et de vous aider à l’adapter à vos envies et à votre budget.

Étape 4 : Etude et Modélisation

Après validation du budget nous passons en phase d’étude du projet. Un de nos techniciens constructeurs se déplace sur place et prend toutes les informations nécessaires pour créer un devis précis.  A partir de ces informations, nous définirons le chiffrage définitif du projet. Puis nous vous envoyons un modèle 3D et des plans d'exécution validés par un bureau d’étude partenaire.

Etape 5 : Fabrication

Finalement, nous passons à l’action. Après avoir convenu un planning de chantier avec vous, nos constructeurs charpentiers commencent la construction du mur d’escalade. Nos murs d’escalade sont composées d’une ossature porteuse en bois fixée au lieux d’implantation ou autoportante si besoin. 
Après la construction de la structure porteuse, nous posons les panneaux d’escalade sur lesquels viendront se fixer les prises.
Enfin, on passe à l’ouverture des voies d’escalade. Nous positionnons toute prises et volumes que vous avez choisis auparavant en prenant en compte votre niveau de grimpe et utilisation souhaitée.
On conclut le chantier en faisant des tests de résistance sur l’ensemble du mur, vérifiant la durabilité de la construction. 

Étape 6 : Grimpez !

Et puis c’est à vous ! Vous pouvez grimper sur votre structure en toute liberté et sécurité. Vous aurez l’opportunité de déplacer toute prise par la suite et recréer des voies à l’infini !

Combien d’espace prend un mur d’escalade/ Quelle hauteur faut-il pour faire un mur d’escalade ?

En fonction de votre espace disponible, tout mur d’escalade est modulable. Il peut être adapté selon la hauteur et la largeur que vous avez à disposition. Nous vous conseillons d’avoir au moins une taille de 2,5m de hauteur par 2m de largeur, vous laissant vous déplacer verticalement mais aussi horizontalement. La hauteur va aussi définir le type de mur que vous souhaitez. Tout mur jusqu’à 4,5m de haut peut être considéré comme du bloc. S’il dépasse les 4,5m, celui-ci devient un mur de voie, qui nécessite un système d’assurage (SAMI) en haut de la voie et des points d’assurage (PAI) pour fixer vos dégaines.

Comment construire un mur d’escalade ?

Pour construire un mur d’escalade, il faut commencer par s’informer sur les normes qui doivent être appliquées pour assurer la sécurité de la structure, limitant la possibilité de blessures pendant l’utilisation et dégâts de la structure qui l’entoure. Deuxièmement, le choix du lieu va vous permettre de définir le type de SAE (structure artificielle d’escalade) que vous souhaitez et la forme possible. On peut trouver des mur de voie, de bloc ainsi que d'entraînement ou de loisir. A partir de ces informations, passez à l’étude de la structure et du lieu, assurant la faisabilité du projet. Adaptez votre projet en fonction des ces éléments (résistance du support, résistance de l’ossature porteuse etc.)

Peut-on construire un mur d’escalade soi-même ?

Il est tout à fait possible de construire un mur d’escalade par vous-même. Cependant, sans des connaissances approfondies concernant la conception de la structure en amont et la construction en elle-même, vous risquez d' endommager la structure qui entoure votre mur. Assurez-vous de bien vous informer en avance et si possible, de faire valider vos plans par un bureau d’étude. 

Quelle est la différence entre un mur d’escalade intérieur et extérieur ?

Les murs intérieurs et extérieurs sont en général très similaires mis à part les matériaux qui vont être utilisés pour la construction. Pour les murs extérieurs, il faut s’assurer d’utiliser des matériaux qui puissent résister aux changements de température et à l’humidité qui vont affecter la structure. Les principales différences sont entre du bois classe 2 pour intérieur à classe 4 pour extérieur, des panneaux d’escalade résinés sablés pour extérieur et éventuellement de la visserie en inox. Il faut aussi prévoir une couverture sur la partie supérieure du mur pour garantir son étanchéité. 

Construire un mur d'escalade pour enfant ? 

Pour la construction d’un mur d’escalade pour vos enfants il est important de bien nous stipuler l’âge des enfants et de suivre nos instructions de sécurité. L’escalade jeunesse peut être un formidable outil de développement pour nos enfants, aussi bien d’un point de vue moteur, psychologique et pour la confiance en soi mais nécessite de suivre les conseils des professionnels du secteur.

Mur d’escalade pour enfant : à partir de quel âge ?

L’escalade peut se pratiquer à tout âge (du plus jeune au plus vieux), à condition de veiller à bien adapter la pratique. En effet, l’escalade vient aux tout petits assez naturellement. Nos chers bambins sont de véritables grimpeurs nés ! Elle peut être envisagée dès que l’enfant apprend à marcher, et même avant !Pour les tout petits, il est impératif de se prémunir de la moindre chute. L’escalade se fera exclusivement encordée et en moulinette évidemment. Privilégiez les faibles hauteurs sur des structures artificielles adaptées à la petite enfance. Les profils seront toujours en dalle voir en vertical afin de renforcer la proprioception et l’équilibre de l’enfant sans jamais traumatiser ses articulations.

Quelles sont les normes qui s’appliquent à la construction de murs d’escalade ?

Il existe une grande quantité de normes qui sont applicables aux murs d’escalade. La bonne application de ces normes assure la sécurité de la pratique de l’escalade d’une part et la stabilité de la structure d’autre part. Toute norme implique un marquage spécifique de la part du fabricant pour avoir une traçabilité de tout le matériel utilisé ainsi qu’un manuel d’instructions. Il y a des normes applicables à chaque type de mur :

- Norme NF EN 12572-3 de 2017: Cette norme spécifie toutes les exigences de fabrication (résistance, matériaux, dimensions et ergonomie) pour les prises d’escalade, ainsi que des informations de fabrication, conseils d’utilisation et marquage spécifique et identifiable du fabricant de la prise.

- Norme NF S72-701 de 2008:  La norme spécifie toute modalité de contrôle, ainsi que le suivi des EPI (équipements individuels de protection) relatives aux SAE. Elle prend en compte les modalités de contrôle,  la fréquence de contrôle, la maintenance et stockage de ces éléments ainsi que les compétences requises par les contrôleurs. 

- Norme NF EN P90-312 de 2007: Cette norme est applicable sur tout matériel de réception pour les structures artificielles d’escalade (SAE). Elle régule le matériel en lui-même, les caractéristiques de la zone de réception ainsi que l’épaisseur selon le type de mur d’escalade. Il existe aussi des normes attachés aux différents types de murs d’escalade en commençant par le BLOC, limité à 4,5m de hauteur: 

- Norme NF EN 12572-2 de 2017: Cette norme régule tout pan et bloc d’escalade. Elle spécifie ces dimensions maximales (4 mètres de hauteur si on peut être debout sur la structure, sinon 4,5 mètres), la surface de réception et espace de chute, ainsi que la stabilité et résistance de la structure (choc des éléments de surface, inserts). Les SAE considérées de type Voie ont aussi une norme spécifique qui est la suivante. 

- Norme AFNOR NF EN 12572-1 de 2017: La norme est applicable sur toute structure d’escalade de avec des points d’assurage individuels (PAI) et systèmes d’assurage en haut de chaque voie. En premier lieu, elle spécifie la distance nécessaire entre chaque PAI. Le premier PAI doit toujours être placé au maximum à 3,1m, puis les suivants doivent être placés selon leur hauteur: 
- 1,00 m si la hauteur ≤ à 4 m.
- 1,10 m si la hauteur > à 4 m.
- 1,20 m si la hauteur > à 5 m.
- 1,30 m si la hauteur > à 6 m.
- 1,40 m si la hauteur > à 7 m.
- 1,50 m si la hauteur > à 8 m.
- 2,00 m si la hauteur > à 10 m.

Elle spécifie aussi les besoins de stabilité et résistance de la SAE et tout matériel utilisé pour sa construction. Toute méthode d'essai pour justifier ces résistances est spécifiée. La surface de réception est aussi délimitée pour assurer un espace de chute sécurité. 

Combien dois-je mettre de prises sur mon mur d’escalade ?

En fonction du type de mur d’escalade et de l’usage que l’on souhaite en faire, nous préconisons une moyenne de 6 à 7 prises par mètre carré. Pour un spray wall, la densité de prises sera bien plus élevée (au moins 15 prises par mètre carré en fonction de la taille des prises). A l’opposé pour un dièdre ou une dalle, le nombre de prises par mètre carré peut être largement réduit, les prises de pieds permettant à elles seules de maintenir son équilibre.

Sécurité

Tout mur de d’escalade doit répondre aux exigences de sécurité mises en place par les normes AFNOR cités au-dessus. Celles-ci précisent toute consigne de sécurité qui est en place pour assurer la stabilité de la structure ainsi que la sécurité des personnes utilisatrices du mur d’escalade. Celles-ci vont aborder tout ce qui concerne les descentes de charges de la structure, assurant qu’elle puisse supporter le poids du matériel utilisé ainsi que les éventuels chocs que la structure peut subir pendant son utilisation. Tout panneau, insert et même vis a une norme spécifique qu’elle doit respecter avant de pouvoir être utilisé pour un projet. Concernant le matériel d’escalade, les normes vont définir l’espacement nécessaire entre chaque point d’assurage et les résistances requises en cas de choc. Elles vont aussi normer l’espace réglementaire de chute, qui doit être toujours dégagé pour éviter les blessures et l’espace requis de tapis de réception pour une bonne pratique du sport. 

Qu’est que c’est une SAE ?

SAE est l'acronyme de Structure Artificielle d’Escalade. Ces structures se développent depuis de nombreuses années et ont connu des formes et systèmes constructifs variés. Actuellement, les SAE sont généralement composés d’un revêtement en panneaux de contreplaqué de bois résiné et sablés afin de créer une texture facilitant l’escalade. Ces panneaux reposent sur une structure porteuse. Ces structures sont généralement en acier ou en bois. Aucun système constructif n’est imposé pour la réalisation de SAE mais celle-ci doivent être conformes aux normes de résistance et de sécurité propres aux murs d’escalade.

Quels sont les différents types de murs d’escalade ? 

Il existe plusieurs types de murs d’escalade. Il peuvent être distingués selon plusieurs critères : 

Plusieurs disciplines : l'escalade sportive regroupe trois principales disciplines qui ont, chacune, leur type de mur. 
- L’escalade de difficulté, il s’agit de mur dont la hauteur dépasse 4,5 mètres de haut, et atteignant généralement une dizaine de mètres. 
- L’escalade de bloc pour des murs inférieurs ou égaux à 4,5m de haut. Il sont de profils très variés.
- L’escalade de vitesse : il existe deux versions du mur officiel de vitesse : l’un à 10 et l’autre à 15 mètres de hauteur. Ils ont une inclinaison de 5° et sont composés de couloir de courses d’escalade de 3 mètres de large.

Plusieurs profils de murs
- Vertical : murs simples d’aplomb
- Dalle : murs avec une inclinaison positive. Les dalles permettent une escalade en appuis sur les prises de pieds. Elles impliquent souvent des mouvements basés sur l'équilibre et  la souplesse. 
- Dévers : Murs avec une inclinaison négative. Plus exigeant physiquement, les murs déversants sollicitent davantage les bras et le gainage. C’est souvent dans le dévers que l’on retrouve les voies les plus difficiles.
- Dièdre : Il s’agit d’un mur formant un angle rentrant permettant de de grimper en appuis sur deux parois simultanément.
- Surplomb : Un surplomb est un passage très déversant nécessitant un rétablissement.
- Toit : Un toit un un mur incliné à 90° ou presque comme si on grimpait sur un plafond.

Niveau demandé pour un mur?

Les difficultés en escalades ne sont pas nécessairement liées au type de profil mais surtout à l’ouverture des voies. En effet, plus les prises seront difficiles à saisir et les mouvements exigeant (physique, prises éloignées, déséquilibres), plus les parcours d’escalade nécessitent un niveau élevé. Les structures artificielles d’escalade permettent de moduler à loisir la position des prises, le niveau de difficulté d’un mur est donc déterminé par l’ouverture des voies plus que par la forme du mur.

Un Spray wall ? Qu’est-ce que c’est que ce truc ?

Un spray wall est un outil d’entraînement pour l’escalade particulièrement utilisé par les grimpeurs de bloc. Il est utilisé aussi bien pour améliorer la résistance, la force de doigts, l’endurance, que pour travailler des mouvements spécifiques.

Un Spray wall est un pan d’escalade généralement très déversant (entre 40 et 45° d’inclinaison) sur lequel est vissé une grande variété de prises. L’importante densité de prises et l’ouverture spécifique d’un spray wall permet aux grimpeurs.ses d’imaginer une quasi infinité de blocs et traversées en fonction des mouvements qu’ils.elles cherchent à travailler.

Particulièrement plébiscités ces dernières années, les spraywalls tirent leur origine des premiers pans artificiels d’escalade sur lesquels il n’y avait pas forcément de parcours bien définis par un ouvreur. Très populaires dans les salles d’escalade au Japon, pays pourvoyeur de champions et championnes d’escalade renommés, les spraywalls font de plus en plus leur retour dans les salles de bloc Européennes et Américaines impulsé notamment par la multiplication des outils d'entraînement (voir Moon Board, Kilter Board etc..)

Adam Ondra nous explique comment disposer les prises sur un spraywall :
Adam Ondra Setting up Spray Wall with Euroholds

C’est quoi un Pan Gullich ? Et comment ça s’écrit ?

Un pan Gullich ou encore pan Güllich toujours avec une majuscule en hommage à Wolfgang Güllich son inventeur et premier grimpeur de l’histoire à avoir franchi le neuvième degré de difficulté ;)
RARE CLIP! Wolfgang Güllich training on his campus board

Un pan Güllich donc, ou encore Campus Board en anglais est un pan d'entraînement d’escalade permettant l'entraînement de la force des doigts et des bras. Il consiste en un pan faiblement incliné entre (généralement entre 10° et 20°) sur lequel est vissé à intervalles réguliers des réglettes en bois (pour la plupart) permettant de faire des exercices de traction sans les pieds (“no foot” quoi). Les pans Güllich sont très populaires dans l’entraînement des grimpeurs de tous niveaux et ceux depuis les années 90. Très commun dans les salles d’escalade de nos jours, il peut être un outil intéressant pour votre entraînement voir votre échauffement à condition de choisir des exercices adaptés à votre niveau !


Full Campus Board Workout

C’est quoi la différence entre bloc et voie?

L’escalade, à l’origine, c’est d’abord atteindre un sommet, souvent montagneux, parfois enneigé. Pour se faire, franchir les grandes parois rocheuses s’est vite avéré être un défi en soi nécessitant des techniques et aptitudes physiques spécifiques. Bien des années et péripéties plus tard (voir les liens ci-dessous plus plus d’infos sur l’histoire de l’escalade), l’escalade est devenue une discipline autonome, détachée de l’unique but d’atteindre un sommet par n’importe quel moyen. L’escalade c’est alors l’art de se déplacer sur ces parois rocheuses plus ou moins verticales et surtout plus ou moins hautes.

- L’escalade de voie est la digne héritière de cet héritage. Il s’agit de l’escalade telle qu’on se l’imagine : serrant fort sur des prises à plusieurs dizaines voire centaines de mètres de haut. Généralement l’escalade de voie désigne l’escalade à une hauteur nécessitant une corde pour assurer sa sécurité. Elle peut être en extérieur sur des parois rocheuses mais aussi sur des structures artificielles d’escalade (S.A.E). Il s’agit également d’un sport de compétition, on parle alors d’escalade de difficulté.
- L’escalade de bloc est née en France, sur les rochers de la forêt de Fontainebleau (77) au début du 20e siècle,  terrains d’entraînement des alpinistes parisiens alors en peine de grandes falaises. L’escalade de rochers ou l’escalade de bloc consiste à gravir des rochers relativement bas (5 mètres de haut en moyenne). Elle permet en revanche de travailler “sans trop de risques” des mouvements particulièrement exigeants et difficiles à quelques mètres du sol. De ce groupe de premiers grimpeurs et grimpeuses de bloc, appelés les “Bleausard”, est née une discipline : l’escalade de bloc. Aujourd’hui elle désigne un type d’escalade sur rocher ne nécessitant pas de corde pour retenir la chute du grimpeur. Le bloc s’est aussi une discipline indoor sur des structures artificielles d’escalade (S.A.E.) d’une hauteur maximale de 4,5m de haut et dont la sécurité du grimpeur n’est pas assurée par un corde mais par des tapis de réceptions. Très populaire depuis une dizaine d’années, l’escalade de bloc se développe particulièrement dans les grandes villes et métropole du monde proposant une activité à la fois sportive et ludique à nombre de citadins.ines. Si le bloc continue à être une activité d’extérieur avec un certain nombre de grimpeur.euses de renom, il s’agit également d’un sport de compétition très suivi.

La naissance de L'ESCALADE LIBRE - PARLONS KAYOO
La naissance de L'ESCALADE DE BLOC - PARLONS KAYOO
La lumière du rocher - Documentaire Alpinisme

Ça veut dire quoi ouvrir une voie d’escalade?

En escalade on distingue deux types d’ouverture et plus généralement d’ouvreur.ses : 
- En extérieur une ouverture désigne la découverte et la proposition d’un nouveau tracé d’escalade jamais répertorié auparavant. En fonction des usages et des pays, l’ouvreur.se est la personne qui nomme la voie ou le bloc qu’il.elle ait réussi ou non son ascension.
- Dans les salle d’escalade ou plus généralement sur les structures artificielles d’escalade (SAE), un.e ouvreur.se est la personne qui trace les parcours d’escalade. Il.elle choisit la position des prises et des volumes déterminant les mouvements nécessaires pour réussir le tracé, on parle d’ouverture.

C’est quoi un volume d’escalade ?

Un volume d’escalade est un agrès généralement en contreplaqué de bois de forme diverse que l’on visse sur les murs d’escalade et dont le but est de créer des ruptures et des changements d’inclinaison. Ils sont souvent munis d’inserts (comme les panneaux d’escalade) permettant d’y visser des prises d’escalade ; on parle aussi de volumes à prises rapportées. Les volumes sont intéressants lorsque l’on souhaite faire varier les styles d’escalade sur un même pan. Ils sont en effet très utilisés par les ouvreurs.ses, notamment dans les salles privées et en compétitions.

Qui sommes nous ?

Relief est une entreprise spécialisée dans la conception et la fabrication de murs d’escalade gérée par Guillaume Vidal, Martin Irrgang et Martin de Floris. Ce métier hors normes est né de la rencontre entre deux passions : la construction de structures en bois et l’escalade. Nous avons pour ambition de créer un monde grimpable, à vos mesures. Notre démarche s’inscrit au carrefour du design et du sport tout en valorisant votre intérieur, tant dans sa fonctionnalité que son esthétique.

Martin Irrgang

Avec des expériences en administration et l’envie de continuer à pousser ses limites, Martin s'est engagé dans Relief pour pouvoir partager ses connaissances en management et continuer à créer des murs d'escalade de qualité pour nos clients avec un accompagnement toute au long des chantiers.

Guillaume Vidal

À l'origine de Relief Escalade, il découvre l'escalade il y a dix ans à Fontainebleau et devient rapidement un grimpeur passionné. En parallèle, il se forme en tant que charpentier bois chez les Compagnons. Fort de ces expériences il saura vous conseiller au mieux pour construire la structure adaptée à vos besoins.

Martin de Floris

Après plusieurs années d'expérience en tant que charpentier, sur le chantier, mais également au sein d'un bureau d'études, Martin saura trouver la solution technique idéale pour installer le mur de vos rêves, chez vous sans porter atteinte à la structure de votre habitat et en respectant les normes de sécurité.